viernes, 20 de diciembre de 2013

211. I get lost, knowing that things are different

But I don’t know, now things are different you know? But still I feel that emptiness that carries your name written with invisible ink on gray days and permanent nights. Because yes, I already know that that time can heal almost anything, but is no good if you hurt me. I Dream more than I sleep, I dream about you more than usual, I dream of you and me alone in a remote location on the outskirts of the city, no people around, without interrupting voices,… no one else but us. From the world, to the sound of our breathing and the smell of nature, any bird singing and our eyes to witness what is happening, that this moment is ours and no one else’s. And for a moment I divert my brown eyes to the landscape there in front of us, to get lost in a nicer, living… intense green, as clear as the clarity of your eyes.

domingo, 8 de diciembre de 2013

210. Indélébile

Je veux me débarrasser de moi, et aussi se débarrasser de ce que je suis et ce que je suis devenu. Je veux me débarrasser de toute la culpabilité que j'ai énuméré dans ma peau, toutes les erreurs enregistrées avec de l'encre invisible -  si je peux encore les voir - et la liste innombrable de déceptions qui m'attire dans les profondeurs. Je veux me débarrasser de cette mauvaise habitude de honte de moi-même pour être moi, et je laisse qui ralentissent, comme tant d'autres choses. Torturer à penser à tous les peut-être, qui ma lâcheté a fini par être impossible. Loin impossibles. De rayer jusque me saigner chaque promesse qu’est restée, en ça, une promesse, dans une conversation, dans le vide. Presque comme les lacunes que je lui, elle, et les autres qui sont passés par ma vie et ont laissé leur marque à gauche. Inoubliable, si ça fait mal à l'admettre. Si ça fait mal parce que c'est important, ou si dire beaucoup de bouches, à la fin ils seront raisonner, comme presque à chaque fois. Je veux me débarrasser des feuilles déchirées ou froissées, du tache d'encre bleue,  des écrites avec trop de sentiment et de tôt le matin par le manque de sommeil, ou la solitude excessive.

209. Life feels better when it's inside your head

Your fingers down my back, my arms and my face looking for moles to join them as if they were constellations.
Looks portraying me, hands weaving and trapping me.
I got your picture perfectly portrayed in my mind; maybe I could draw you without looking, guiding only by memories.
Drunken smiles, the light tone of your skin and your eyes, that way yours of slightly wrinkling the nose every time you laugh.
They say that every person is different world, but I can say that you are a universe of a thousand peculiarities, full of dreams, ideals, and ways of thinking.
How if you were a song, I never get tired of you, your ups and downs, your pace,... actually we can say that you are like that song that we listen to a thousand times and every time we listen to it we like it even more than the previous one.
Let's say that tonight I miss you, I'd give my life over and over again to have you back in my bed, feeling the tips of your fingers stroking my hair and making drawings on my neck, so I could remember the texture of your lips and bite them once again, feel the fire that melts a frigid soul, listen to rock, feeling for one night that nothing has changed, love each other between orgasms, waking up, have a war and find respite overnight.

I could spend my life that way; however some say that a quiet life is better, this shows little they know about life, dreams, freedom...

martes, 3 de diciembre de 2013

208.L'esprit vide

Parfois, je ne sais pas quoi écrire, je n'ai pas la moindre idée. Je suppose que ce n'est pas normal, mais il m'arrive. Il arrive que je veux écrire sur tant de choses, ce faisant, se fanent, et je suis blanc, et je ne sais pas quoi écrire. J'ai encore beaucoup d'idées dans ma tête. J'ai tendance à penser que peut-être je l'ai déjà trop écrit, et je n'ai rien à dire, mais je sais que ce n'est pas vrai. Je le sais parce que je me souviens de tes yeux sombres et les mots sortir seule. Comme pour m'échapper, comme si elles voulaient être libres. Non plus, je ne pense que c'est normal.

C'est ça, vos stupides et énigmatiques yeux ne peuvent pas s'effacer de mon esprit, pas plus, maintenant que j'ai parlé à leur sujet. Cette étincelle en eux vivant dans ma mémoire comme une séquence d'images en lente, si beau et à distance caméra à la fois. Que disais-je? Ah oui, je sais. Il y avait des moments où je ne savais pas quoi écrire.



Vos yeux sombres, voyez-vous?





Toujours sont efficaces